mardi 14 avril 2009

C'est dur d'avancer.

J'avance, je corrige. Mes 15% ne sont pas encore officiels (j'attends de terminer le chapitre complet pour mettre à jour mon compteur) mais c'est difficile.
Après avoir rajouté un chapitre 4bis, j'ai dédoublé le 5 et le 6. Ils sont plus équilibrés, c'est sans doute mieux (manquerais plus que ça !).
Mais j'ai l'impression d'écrire un bouquin différent. C'est pour faire passer mon idée de départ, les trucs qui manquaient au lecteur pour me suivre là où je voulais l'emmener, donc je ne me trahis pas, mais c'est étrange.

Je voudrais avancer plus vite, pouvoir corriger dans n'importe quelles conditions (même avec les enfants qui jouent à côté et mon homme qui continue à vivre dans la maison), mais je n'y arrive pas. Du coup, j'ai l'impression d'avoir le cerveau asphyxié. Si je m'arrête trop longtemps, je perds le fil. Si je ne m'arrête pas, j'ai des courbatures derrière le front.

Heureusement, il y a quand même des chouettes trucs qui m'aident à tenir. D'abord, l'attente des grenouilles, de plus en plus nombreuses à avoir envie de lire les fedeylins (vous n'imaginez pas la pression), et puis l'envie de terminer qui me pousse toujours plus loin. Sans oublier les compliments qui font du bien : http://syven-mondes.blogspot.com/ (Merci Syven).

Il faut que j'y arrive.

5 commentaires:

Syven a dit…

Je comprends tout à fait ta frustration. Moi aussi je trime sang et eau, et j'enrage quand je ne peux pas avancer le WE. C'est la semaine que j'avance le plus ! C'est dingue !

C'est long, c'est dur, mais tu en verras le bout. On est derrière toi et on y croit.

Et puis tu souffres moins que Cahyl. :D

Léa Muna a dit…

Syven! C'est un très méchant spoiler! Moi aussi, je veux savoir comment il souffre le petiot. Déjà que sa naissance est... horrible.

Allez NB! Go go go!

N.B. Coste a dit…

Merci les filles !

Là, il ne souffre pas trop. Si on compare à la suite.

Benedict Taffin a dit…

Courage, NB. Prends ton temps. Amuse toi. C'est le principal quand on écrit. :D

N.B. Coste a dit…

Tu as raison, Bénédicte. Parfois j'oublie.