dimanche 28 février 2010

Petites choses en passant



Ma semaine de boulot sur les auras s'est en fait limitée à une intense réflexion (oui, dit comme ça, on dirait que je n'ai pas bossé du tout [ce qui est un peu vrai]) : je crois que j'ai trouvé comment revoir ma fin.

C'est bien, mais du coup, ça mérite de renforcer un fil directeur et pas qu'un peu. Ce qui veut dire plus de boulot qu'un simple lissage des fautes.

En plus, j'ai réalisé que l'un des thèmes central n'est en fait qu'esquissé (alors que je voulais qu'on le comprenne sans faire une analyse de texte ^^). À revoir aussi.


Je vais laisser maturer encore un peu. Ça a l'air de se décoincer et, si ça se trouve, les changements vont me faire développer un peu plus... quitte à ce que ça devienne un vrai roman !


Là, tout de suite, je vais fignoler les élémentaires.


En lecture, j'ai attaqué (enfin) "La dramaturgie" d'Yves Lavandier. Je me dis que cette période charnière entre plein de corrections est justement le bon moment pour me plonger dans un ouvrage pareil !

mercredi 24 février 2010

Quand les auras sortent du placard...

Comme vous le savez, j'ai terminé le 1er jet des élémentaires (en fait je triche car il faut que je mette au propre le dernier chapitre, que je passe le répétition detector sur les 5 derniers chapitres et que je les fasse lire à Huggy, et que je corrige d'après ce qu'il m'en dira [ses deux premiers mots sont déterminants, qu'ils soient "pas mal", "c'est bien", "bon, alors..." ou "c'est excellent !"]). Disons que c'est quasi terminé. 99.99%. Ça va.


Bref, comme ce roman doit (se) reposer un peu avant les corrections (sinon, elles sont trop superficielles) et que je n'ai pas encore de corrections éditoriales à faire sur les fedeylins (elles viendront bien assez tôt ^^), je me suis dit que j'avais quelques semaines devant moi.
Pour faire quoi ?


Lire serait une bonne idée. Je pourrais déblayer ma PAL. Mais à vrai dire, je n'ai pas trop le goût. Bon, j'avance quand même doucement sur Acacia de David Anthony Durham, pas très régulièrement.


Alors je me suis dit que je pourrais ressortir "les couleurs de l'aura" du tiroir où ce manuscrit repose pour voir l'étendue des dégâts.

J'en avais un souvenir plus que mitigé parce que je n'ai pas pris beaucoup de plaisir à l'écrire et que je ne suis pas satisfaite de ma fin. J'ai ouvert le fichier hier soir et, s'en m'en appercevoir, je l'ai lu en entier.

La question du format se pose toujours. Je voulais un roman mais vu qu'il fait 200 000 signes, on penche plus vers la novella.

Par contre, j'ai été étonnamment surprise : je pensais qu'il y avait beaucoup plus de boulot !

J'irais même jusqu'à dire que c'est pas mal !


Bon, je suis sûre que des bêtas-lecteurs auront pleeeeeeins de remarques à faire, mais ça tombe bien : moi, je ne vois rien.


Donc voilà, je vais peut-être faire ça cette semaine. De petites corrections sur une petite novella histoire de ne pas la laisser à moitié terminée dans un tiroir.

lundi 22 février 2010

Tentative de ne plus dire de bêtises



Bon, maintenant qu'il y a du passage sur ce blog (coucou les gens ! Et merci pour les commentaires, ça fait plaisir !), je ne peux plus vraiment dire de bêtises.
En même temps, si je ne cherche que des choses intéressantes à dire, je risque de ne pas poster souvent.
Donc, on va partir du principe que rien a changé et faire tout comme avant !

Bon, première étape de mon aventure éditoriale : une grande décision à prendre. Sous quel nom je publie ?

Je n'étais pas très fan de mon prénom donc j'avais cherché une solution alternative. La moins pire étant mes initiales (N.B) que j'utilise d'ailleurs comme pseudo. En plus, c'est une sorte de code au boulot (l'autre boulot, celui qui fait manger), ce qui fait qu'on l'utilise pour me désigner depuis une bonne dizaine d'années.

Mais bon, c'est vrai que ça fait genre "j'me la pète J.K ou J.R.R. en plus, j'ai même pas de J."

Quand la question s'est posée pour de vrai, du sérieux, le mettre en haut d'un chouette roman avec une couverture à rabats, ben il s'est trouvé qu'en fait, un vrai prénom serait mieux.

J'ai cherché un peu, désespérée à l'idée que trouver un nom de personnage était plus simple que se nommer soit-même, et puis j'ai renoncé. Finalement, mon prénom, même si j'ai du le justifier une bonne vingtaine d'années et qu'il m'a fermé des portes (joie de la discrimination à l'embauche), c'est quand même le mien.

Pour le nom de famille, j'avais décidé depuis presque toujours que ce serait mon nom de jeune fille (qui va se perdre puisque nous sommes une famille à filles). Là, pas de souci.


Donc voilà, la décision est prise (et notifiée dans le contrat ^^) ce sera donc : Nadia Coste.

Mince, faut que je change toutes les infos partout sur ce blog !

vendredi 19 février 2010

Le mystérieux éditeur des fedeylins...

C'est Gründ !

Ça y est, c'est officiel ! Les contrats sont signés, le travail à commencé... on peut déboucher les dernières bouteilles mises au frais rescapées du 'oui' !

Les fedeylins sortiront donc chez Gründ, dans la toute nouvelle collection de romans qui ouvrira ses portes en 2010.

Quatre tomes sont prévus, dont le premier à paraître en février 2011 !

Je suis vraiment heureuse de cette collaboration qui s'annonce très enrichissante.
L'équipe est super, très accueillante, très enthousiaste sur mon livre (je ne vous dis pas le plaisir que ça fait de voir son travail reconnu par les professionnels de la profession) j'ai été tout de suite comme chez moi lorsque je suis allée signer mon contrat aujourd'hui.
Et Xavier Décousus (oui, oui, je le cite, parce qu'il faut bien savoir qui vous pouvez vénérer pour toutes ces bonnes nouvelles) est définitivement le meilleur éditeur du monde !

Bref, voilà, l'année qui vient va être bien remplie et chaque étape vécue avec vous via ce blog, jusqu'à ce qu'on tienne le bébé entre les mains... ça va aller bien plus vite qu'on ne le croit !


PS : au fait, j'ai terminé le dernier chapitre des élémentaires juste avant de signer le contrat pour les fedeylins... la classe !

mardi 16 février 2010

Vite, plus qu'un !

(Ce titre est un hommage au merveilleux panneau qui s'est délavé au fil des ans et affichait "vite, plus qu'une !" lors de la création d'un lotissement "moderne" dans mon village... Il ne restait qu'une maison à acheter... et même lorsqu'elle a été vendue, le panneau est resté au moins 10 ans ! Bref, ça reste en tête, ce genre de phrase)

Ça y est ! Ça sent la fin ! Il ne reste plus qu'un chapitre à écrire sur les élémentaires, j'ai dépassé la barre des 400 000 signes et la boucle est bouclée.

Une petite conclusion qui va bien et ce premier jet sera considéré comme achevé.

J'ai eu des sueurs froides sur les deux/trois derniers chapitres parce que mon synopsis si bien ficelé, ma trame détaillée qui ne m'a jamais fait défaut (*cache les ratures et les moult chapitres bis qui se sont rajoutés sous le tapis*) a tout à coup pris un tournant inattendu.
J'avais laissé une porte ouverte quand à la fin d'un personnage en particulier (meurt ? Meurt pas ? Suspens) et je suis plutôt contente de ce que ça donne.

Par contre, j'avais prévu un écho au premier chapitre (mes aventuriers devaient se retrouver dans une situation similaire à celle du début mais avec une fin de chapitre différente car ils ont évolué entretemps), sauf que non. Je n'ai pas réussi à forcer pour les remettre dans la même situation. Du coup, pas d'écho et je vais reprendre le chapitre 1 sans cet objectif là.

Je vois déjà tout ce qui sera à changer, à compléter, à modifier, à corriger... et j'aime ce texte, alors je le travaillerai avec plaisir.
Mais pas tout de suite !

Un peu de repos d'abord (pour lui, pas pour moi ^^).

Enfin, faut terminer ce dernier chapitre, quand même.

vendredi 12 février 2010

Où NB s'amuse avec tout plein de liens

Qu'est-ce que je vais bien pouvoir vous dire, maintenant que la BIG NEWS est tombée ? Tout me semble sans saveur en comparaison.

Que j'avance sur les élémentaires ? Qu'il me reste deux chapitres et demi pour terminer ce premier jet ?
Oui, bon, d'accord. Ça peut en intéresser quelques-uns.

Je suis tellement heureuse/euphorique/soulagée/impatiente de concrétiser le roman Fedeylins (rayez les mentions inutiles selon l'humeur) que je vais avoir du mal à nourrir ce blog pendant quelques jours (*se rappelle soudain que chaque fois qu'elle dit que ça bloque, en fait, ça se débloque le lendemain ou le jour suivant. Se dit qu'elle ferait mieux de ne rien dire, là tout de suite*)


Bref, je profite donc de ce message pour envoyer d'énormes remerciements à toutes celles et tout ceux qui suivent mon parcours !


Mention spéciale pour Syven et Blackwatch qui ont très gentiment posté un article au sujet des fedeylins sur leurs blogs respectifs. Se sont elles qui ont décortiqué mon manuscrit et vu son potentiel les premières. Il serait de moindre qualité sans elles. MERCI les filles !

Non seulement se sont des bêta-lectrices hors pair, mais des auteurs pleines d'avenir ! Le roman de Syven "Au sortir de l'Ombre" paraîtra prochainement aux éditions du Riez et celui de Blacky "Les Outrepasseurs" est en travail via un cycle de Bêta-lecture CoCyclics !
Et ce n'est que le début !

Puisqu'on en est à la pub des blogs, merci à Malka aussi pour son petit mot très gentil !

Mince, par association d'idées, je viens de me souvenir que Tsumïre m'a demandé de mettre en ligne un extrait (lu à voix haute). Ça pourrait me faire un article à venir, sauf que je doute de ma capacité à m'enregistrer et à bidouiller le truc pour que ça fonctionne. Si j'ai le courage, je vous mettrais un bout des élémentaires ^^ (ouais, non, pas les fedeylins, parce que c'est quand même une narration à la première personne et au masculin, alors ça ne le ferait pas avec ma voix).


Par contre, il y a la discussion sur les musiques et l'inspiration qui fera peut-être l'objet d'un article (voir les blogs de Macalys et Célia). Je ne croyais pas avoir grand chose à dire dessus (vu que ça ne fonctionne pas ainsi avec moi), mais je me suis souvenu d'une anecdote (liée aux fedeylins, cette fois-ci).


Bref, à suivre !

lundi 8 février 2010

Quand un jour...


C’est l’histoire d’un Manuscrit qui cherchait un éditeur.

Il était beau à l’intérieur et avide de se faire aimer.
Il frappait aux portes mais, chaque fois, on le détaillait des pieds à la tête et on déclarait :
— Ça va pas être possible.
Les portes se refermaient une à une et le Manuscrit était bien triste.
Un jour, il s’assit sur un banc pour reposer ses pieds meurtris par son errance avant de reprendre ses recherches dans un nouveau quartier. Il ne désespérait pas de trouver celui qui le comprendrait.
C’est alors qu’un son parvint à ses oreilles. Un coassement.
« Une grenouille ? Ici ? Au carrefour des maisons d’éditions ? »
Le Manuscrit claudiqua jusqu’à l’origine du son.
Là se trouvait une mare. Une mare magique dont l’étendue infinie se perdait à l’horizon. Au loin, derrière un bosquet de roseaux, il entraperçu d’autres manuscrits comme lui.
— Tu es perdu ? demanda une grenouille.
— Je cherche un éditeur, répondit-il.
Il eu peur que les coassements se muent en rires, mais la grenouille sourit :
— Nous t’aiderons.

Alors, deux d’entre-elles prirent le Manuscrit par la main et lui montrèrent son reflet.
— Regarde. Tu boites et ton dos est voûté. Les éditeurs n’ouvrent pas leur porte à ceux qui ne se tiennent pas droit ! Ton regard est fuyant, tu bafouilles, tes cheveux sont gras de participes présent et ton front bourgeonne d’adverbes !
Le Manuscrit aurait pu se vexer, mais il savait que les grenouilles ne voulaient que son bien. Il se souvint avec émotion de ses parents et ses amis qui lui avaient fait leurs adieux avant son départ à la recherche d’un éditeur.
« Ils m’aimaient comme je suis », se dit-il.
Puis il se contempla et comprit.
« Avec tout ça, les éditeurs ne peuvent pas voir ma beauté intérieure ! »

Fidèles à leur promesse, les grenouilles l’aidèrent. Elles lui montrèrent comment se redresser et, à force d’entraînement, il cessa de boiter. Elles lui apprirent à se présenter sans bafouiller. Il traita ses problèmes de peau et se fit un shampoing adapté.
— Nous avions vu ta beauté intérieure, dirent les grenouilles. Maintenant, tous la verront aussi.

Quatre nouveaux batraciens approchèrent.
— Oui, tu es beau, Manuscrit. Mais regarde ! Tes baskets sont usées, ton jean tout rapiécé, ta chemise pleine de boue, et on ne te parle même pas des anacoluthes qui te tournent autour vu ton odeur.
Alors, le manuscrit se lava et changea de vêtements pour paraître encore plus à son avantage.
La mare entière acquiesça.
— Tu es prêt à repartir.
Le manuscrit retourna au carrefour des éditeurs. Il avait l’impression d’avoir grandit depuis la dernière fois. Mûrit. Il se sentait le même et toutefois meilleur. Sa beauté intérieure rayonnait autour de lui.

Il frappa à plusieurs portes. À présent, on le laissait entrer dans le vestibule des maisons d’éditions.
Il y avait là des bancs, des commodes, des étagères. Chaque centimètre était occupé par d’autres manuscrits. Du sol au plafond, ses semblables s’agglutinaient pour remplir l’espace exigu de cette salle d’attente.
Le Manuscrit vit un dérouleur à ticket contre un mur. Une langue rose marquée d’un numéro pendait hors de sa bouche. Le Manuscrit tira l’un des tickets et le dérouleur grommela :
— On vous appellera !
Loin de se décourager, le Manuscrit reprit sa route, frappa à d’autres portes et fit provision de tickets, convaincu que son tour viendrait un jour.
Il retournait souvent près de la mare qui l’avait tant aidé. Les grenouilles le rassuraient et l’aidaient à repartir lorsqu’il doutait.

Alors qu’il abordait un nouveau quartier, le manuscrit entendit quelqu’un l’appeler.
Il se retourna, surpris. Un homme courait dans sa direction.
— J’ai vu votre beauté intérieure ! lui cria celui-ci en haletant.
Le Manuscrit se laissa rattraper. Il n’en croyait ni ses yeux, ni ses oreilles.
Alors, il parla longuement avec l’éditeur pour s’assurer de sa sincérité. Quand il fut évident qu’ils étaient faits pour s’entendre, l’homme proposa :
— Et si vous veniez visiter ma maison d’édition ? Vous pourrez vous y installer à votre aise ! Oh, et amenez vos petits frères.
Le Manuscrit regarda la poignée de tickets qu’il conservait dans sa main. Il sourit. Il n’attendrait plus avec ses semblables.
Il allait être publié.


Oui. Les fedeylins seront publiés !

dimanche 7 février 2010

Avancer, corriger et remettre son ouvrage...

Cette semaine, les fameuses heures de déconnexion m'ont beaucoup plus fatiguée que prévu (je rassure tout le monde, je n'étais pas en cure de désintox ^^) et je n'ai pas écris autant que j'aurais voulu le soir. J'ai quand même repris un bon rythme (un peu plus de 10 000 signes hier, 8 000 aujourd'hui et je devrais en ajouter entre 6 et 8 000 ce soir).

Ce qui fait que, si tout va bien, j'aurais terminé le chapitre 24 des élémentaires ce soir ! Il n'en restera donc que 4. C'est la fin, ça s'accélère, j'aime !


J'ai déjà dépassé la barre des 350 000 signes. L'arrivée sera au delà des 400 000.
Je sais déjà ce que je veux reprendre et ajouter (surtout au début) et j'ai encore un peu de marge jusqu'aux 500 000 signes prévus. Mais ces ajouts et corrections ne se feront pas avant un temps de repos nécessaire à tout mes écrits longs (qui me permettent d'avoir plus de recul que si j'enchaînais les corrections tout de suite).

J'avais prévu de reprendre les corrections du tome 2 des fedeylins en février, donc ça va bien se goupiller.

J'ai du boulot sur ce tome 2. Pas mal de choses à revoir.
Quand j'ai reçu les bêtas, ça m'a un peu déprimé (fut un temps ou ce tome était mieux que le premier...), mais maintenant, je commence à voir sous quel angle je dois le reprendre. J'assimile les problèmes à résoudre pour les corriger au mieux.

Ça a été difficile sur le tome 1, mais payant.


À chaque remarque, la réaction épidermique était "non, non, non !" et puis ça faisait son chemin jusqu'au cerveau qui lançait finalement un "et si je le faisais comme-ci, ou comme-ça ?" et la solution apparaîssait. Il n'y a pas de raison que ce soit différent !

Certains pensent que leurs histoires sont gravées dans du marbre et qu'on ne peut pas en changer une virgule... depuis mon cycle CoCyclics, cette idée me fait drôlement sourire ! Il ne faut pas hésiter à reprendre son texte pour le rendre meilleur.

Même si au final il est très différent. L'essentiel est que ce qu'on veut faire passer soit perçu de la bonne façon par le lecteur.

Si ce n'est pas le cas... c'est à reprendre !

8 versions du tome 1 pour arriver à quelque chose de bien. Le tome 2 n'en est qu'à la 5ème. Il a encore un peu de marge avant d'être au niveau ^^.


mardi 2 février 2010

Prix Merlin : Votez !


Ça y est ! Les votes sont lancés ! Si vous voulez soutenir ma nouvelle "Chérubins" parue chez Borderline en janvier 2009, n'hésitez pas !

Il y a vraiment beaucoup de choix, j'ai eu du mal à me décider (on peut voter pour 3 nouvelles et 3 romans). Finalement, j'ai voté pour des nouvelles de grenouilles que j'ai bêta-lu et qui m'avaient touchée, même avant retravail.

Pour les romans, c'est terrible mais je n'en ai pas lu un seul. Je suis un peu (beaucoup) en décallage avec les sorties... alors, je vais soutenir des auteurs plutôt que des textes.


À part ça ? Ça avance. Si tout va bien, je devrais terminer le chapitre 22 des élémentaires tout à l'heure. Plus que 6 !