lundi 19 juillet 2010

Si vous croyez que c'est facile...

Je ne vais pas vous mentir, ce que je fais en ce moment est douloureux.

Je reprends le premier chapitre des élémentaires.

C'est dur.

Comme dirait mon mari, je ne peux m'en prendre qu'à moi même : après tout, c'est moi qui ai décidé d'écrire !
J'irais même plus loin : si je me plains de devoir corriger et réécrire, eh bien je n'ai qu'à faire des premiers jets parfaits !

Enfin, j'ai bon espoir qu'après ce chapitre, ce soit plus facile. J'aurais le chapitre 3 à réécrire aussi. Le dernier chapitre, bien sûr. Quelques passages à rajouter. Et le reste à corriger et ajuster.
Mais le premier chapitre...

Tout le monde sait qu'il est déterminant, je ne vous apprends rien.
Mais là, je me rends compte que l'opinion des bêta-lecteurs sur mes personnages a été entièrement conditionnée par les infos du premier chapitre. Si je change là, si je distille les bonnes infos, une bonne partie du reste ne nécessitera que des corrections mineures.

Autant dire que j'essaye de ne pas me planter et de prendre en compte beaucoup de paramètres. Ça me demande une concentration bien supérieure à de la simple rédaction ou des corrections comme ces derniers temps.
Pas facile donc.
J'ai hâte d'en avoir terminé pour retrouver la sérénité qui me manque face à l'écriture ces jours-ci.

3 commentaires:

Amibe_R Nard a dit…

J'allais dire : je hi hi hi cane devant les premiers jets parfaits.

Et j'aime bien aussi l'idée de "se planter", surtout en écriture.

Peut-on se planter en écriture ?

Voilà une question intéressante. ;-)

Bonne réécriture à toi.
l'Amibe_R Nard

Black a dit…

C'est l'angoisse du premier chapitre, bien naturel ! Quant à la science des premiers jets parfaits... tu me refileras la recette si tu la connais! ;-)
Bon courage la Miss (et des nouvelles très bientôt!)

N.B. Coste a dit…

@ Bernard : oh, si on peut se planter ! Et perdre 2, 4, 6 mois de sa vie, faire deux ou trois versions de plus... Si on a - comme moi - autant de projet à écrire, autant aller droit au but quand on identifie les problèmes !

@ Blacky : j'attends de tes nouvelles (pas du tout nerveuse, tu penses ;) )