Donc, comme je le disais précédemment, j’ai attaqué la rédaction des yeux de l’aigle (enfin, le tome 1). Il devrait faire un peu plus de 100 000 signes, si tout va bien.
J’ai retrouvé ma régularité (deux heures tous les soirs, et un peu plus le week-end) ce qui m’a permis de bien avancer. En plus, comme c’est une histoire destinée aux premières lectures (disons les premiers petits romans à partir de 8 ans), je me suis octroyée une lectrice de choc : ma fille de 7 ans et demi (qui est une grande lectrice et piaffait de lire l’une de mes histoires).
Voilà comment je procède : j’écris un chapitre, je le relis (si possible un peu plus tard ou le lendemain), je le corrige, le passe au répétition détector, l’imprime… et le fait lire à ma fille. C’est assez amusant de l’observer pendant qu’elle lit. Je sens son stress (ou pas), je vois quand elle bute sur des paragraphes… Ensuite, on fait un point ensemble et je note (et elle surligne) tout ce qu’elle n’a pas compris. De la bêta-lecture en live.
Je reprendrai l’ensemble dans un second temps. Pour l’instant, j’avance dans le premier jet.
A vrai dire, j’en suis à 60 000 signes. Oui. Plus de la moitié. Et je n’ai attaqué que mercredi ! C’est dingue, moi qui me demandais quand j’aurais le temps de l’écrire… ben en fait, ça ne va me prendre que 15 jours !
Bon, d’accord, il y aura du boulot de correction (j’ai eu du mal à trouver le bon ton du narrateur, par exemple, donc je sais qu’au moins les deux premiers chapitres sont à revoir de ce côté-là, mais maintenant ça roule) mais n’empêche ! C’est cool.
Pourquoi j’avance aussi vite ? Trois raisons :
• D’abord parce que ma trame est caroublée (merci la méthode flocon), je sais exactement où je vais.
• Ensuite parce qu’une première lectrice de 7 ans et demi qui vous dit « Ben, maman ? Qu’est-ce que tu fais là ? Tu n’es pas sur ton ordinateur à écrire ? Mais moi je veux savoir la suiiiiiiite ! » eh ben mine de rien, ça motive pour avancer.
• Et surtout parce que j’adore cette histoire, en fait !
J’ai retrouvé ma régularité (deux heures tous les soirs, et un peu plus le week-end) ce qui m’a permis de bien avancer. En plus, comme c’est une histoire destinée aux premières lectures (disons les premiers petits romans à partir de 8 ans), je me suis octroyée une lectrice de choc : ma fille de 7 ans et demi (qui est une grande lectrice et piaffait de lire l’une de mes histoires).
Voilà comment je procède : j’écris un chapitre, je le relis (si possible un peu plus tard ou le lendemain), je le corrige, le passe au répétition détector, l’imprime… et le fait lire à ma fille. C’est assez amusant de l’observer pendant qu’elle lit. Je sens son stress (ou pas), je vois quand elle bute sur des paragraphes… Ensuite, on fait un point ensemble et je note (et elle surligne) tout ce qu’elle n’a pas compris. De la bêta-lecture en live.
Je reprendrai l’ensemble dans un second temps. Pour l’instant, j’avance dans le premier jet.
A vrai dire, j’en suis à 60 000 signes. Oui. Plus de la moitié. Et je n’ai attaqué que mercredi ! C’est dingue, moi qui me demandais quand j’aurais le temps de l’écrire… ben en fait, ça ne va me prendre que 15 jours !
Bon, d’accord, il y aura du boulot de correction (j’ai eu du mal à trouver le bon ton du narrateur, par exemple, donc je sais qu’au moins les deux premiers chapitres sont à revoir de ce côté-là, mais maintenant ça roule) mais n’empêche ! C’est cool.
Pourquoi j’avance aussi vite ? Trois raisons :
• D’abord parce que ma trame est caroublée (merci la méthode flocon), je sais exactement où je vais.
• Ensuite parce qu’une première lectrice de 7 ans et demi qui vous dit « Ben, maman ? Qu’est-ce que tu fais là ? Tu n’es pas sur ton ordinateur à écrire ? Mais moi je veux savoir la suiiiiiiite ! » eh ben mine de rien, ça motive pour avancer.
• Et surtout parce que j’adore cette histoire, en fait !
2 commentaires:
Trop top, ta fille ! :-)
Un lecteur en live, c'est le meilleur... Tolkien n'aurait jamais écrit ce qu'il a écrit sans ce genre de lecteur.
Roule Roule écrivaine ! :-))
l'Amibe_R Nard
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