dimanche 2 mai 2010

Il en faut peu pour être heureux


Premier constat dans mon processus de corrections éditoriales : travailler 500 000 signes : c'est le bonheur.

Franchement, les romans d'un million de signes, c'est terminé pour moi !

Là, je n'ai mis que deux jours pour relire le tome 1 complet : tout est frais dans ma tête et le travail me semble à hauteur humaine.

Je n'ai pas eu envie de tout changer (quelques bricoles, mais rien qui ne me prenne plus d'une d'une demi-heure, autant dire peanuts). Enfin, bien sûr, avec le recul je n'écrirais pas tout de la même façon, mais dans l'ensemble, il est bien comme ça ce roman.

J'ai annoté les scènes que je dois revoir, je vais attaquer ça cette semaine.

Ça avance...

5 commentaires:

Syven a dit…

Ah oui, 500 000... Ca laisse songeuse...
Biz

Alaric a dit…

Euh...tu comptes en faire combien pour Les Élémentaires? :-D

N.B. Coste a dit…

@ Syven : ^^

@ Alaric : les élémentaires font 450 000 signes, j'ai encore un peu de marge pour ajouter des choses qui manquent dans la prochaine version !

Conteuse a dit…

J'approuve : Plus de 500 000 signes, c'est peut-être agréable à lire, mais c'est bougrement dur à gérer !

Quel plaisir ce doit être que d'être satisfaite du résultat !
Et de savoir que ce sont les dernières corrections !

Shaya a dit…

... et c'est encourageant en tant que lecteur : viiiiiiite ! je suis impatiente d'avoir le livre dans les mains :D