Résumé :
451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif.
Le pompier Montag se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.
Mon avis : Autant j'avais du remettre "Le meilleur des mondes" dans le contexte de son époque pour en apprécier l'intérêt, autant j'ai été complètement happée par "Fahrenheit 451" dès le début. Il faut dire que, cette fois-ci, j'ai lu la préface après ^^ (j'ai bien fait, sinon j'aurais encore su la fin !). Est-ce lié à la traduction, qui date de 1995 pour la version que j'ai lue, et qui rend le style très moderne ? (ou alors, il était déjà moderne pour l'époque ?). Dans tous les cas, les thèmes, le style, les personnages, le rythme, les révélations progressives, la tension jusqu'au dénouement... tout m'a convaincu. Un roman intemporel, donc !
Une belle surprise car je n'avais pas gardé un souvenir grandiose des "Chroniques Martiennes" (du même Bradbury), lues à l'école (collège ? Je ne sais plus).
Encore un classique rattrapé dans ma longue liste !
Ma Pile à Lire diminue, peut-être même que j'ai terminé les 3 bouquins emmenés en vacances à l'heure où vous lisez ces lignes ! (Eh oui, par la magie de la technologie, vous devez lire ce billet alors que je l'ai préparé il y a une semaine : depuis que j'ai découvert la planification, le blog revit régulièrement ^^).
Ce qui veut dire que ce n'est qu'une question de jours avant que je ne me remette à écrire ! (pour ceux qui l'ignorent, je suis incapable de lire et écrire pendant la même période, alors j'alterne !)
3 commentaires:
J'ai lu ce roman en début de mois, je trouve qu'il est assez universel tant par les valeurs qu'il véhicule que par la définition du livre et la problématique de la connaisance.
Oui, tout à fait !
Rappel : François Truffaut a fait une adaptation de ce livre en film. A voir pour les amateurs !
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