Si vous êtes auteur, vous avez peut-être déjà fait face à ce syndrome : le petit détail auquel vous n'avez pas pensé lors de la construction de votre roman mais qui, vers la fin de la rédaction, vous saute aux yeux. Parfois, il débloque quelque chose. Parfois, il renforce juste une idée. Parfois, il permet d'ajouter de l'émotion dans une scène... Dans tous les cas, il aurait dû être introduit depuis le début (ou presque) pour que l'effet fonctionne.
Eh oui ! Ce n'est pas d'un deus ex machina dont je parle, mais bien d'un détail auquel vous n'aviez pas pensé avant, mais qui vous semble évident (voire génial) quand il arrive.
Bref, "Ascenseur pour le Futur" est victime de ce syndrome.
Je viens de terminer le premier jet (c'est cool) mais grâce à ce petit-détail-de-rien-du-tout-mais-qui-change-tout, je vais avoir des ajustements à faire, de petites modifs, avant de le faire lire à mes lecteurs n°1 et 2 (ici, je pense à mon mari et à ma fille aînée).
J'en profiterai pour rajouter quelques descriptions qui manquent (96 % de dialogues, hum).
Autres romans, autres infos : je me plonge (en parallèle) dans les corrections éditoriales du tome 2 des Yeux de l'Aigle ("la reine des nuages") qui sort en septembre. Et ensuite... des fedeylins ! Tiens, ça faisait longtemps ^^
Bientôt les corrections du tome 4 ("L'Ombre des Pères" qui sort en octobre).
Hop hop hop, pas le temps de chômer !
1 commentaire:
C'est grâce à ce "syndrome" que j'étais bien contente de ne pas soumettre le premier tome de ma trilogie sans l'avoir terminé ! En écrivant les derniers chapitres du troisième tome, ce détail sauta à mes yeux.
J'ai dû réécrire la série, histoire de mieux parsemer les indices. ,-)
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